"O grande problema da poesia, é que ela precisa ainda de tradução para a compreensão de outros povos, para outras linguagens igualmente terrenas e impuras, que sempre precisam ser aperfeiçoadas e reinventadas, o que nesse trajeto, sempre haverá perdas. A Música ao contrário, vai direto ao espírito sem tradução, desde o primeiro homem que existiu. Atinge cada ser vivente, até um pássaro, e este compreende com os sentidos. A música carrega já a mensagem na sua forma mais pura que chega ao espírito na sua própria linguagem: A vibração cósmica. Todo o universo vibra em múltiplas frequências, audíveis e inaudíveis. A maior parte da música é inaudível. Mas ela está aí e sente-se com o corpo e com a mente. A música é metafísica!
Como materializar o indizível para um papel ?
Ou melhor, quem precisa mostrar o óbvio ?"
Como já dizia Baudelaire...
Harmonias da Tarde
Voici venir les temps où vibrant sur sa tige
Chaque fleur s’évapore ainsi qu’un encensoir;
Les sons et les parfums tournent dans l’air du soir;
Valse mélancolique et langoureux vertige!
Chaque fleur s’évapore ainsi qu’un encensoir;
Le violon frémit comme un coeur qu’on afflige;
Valse mélancolique et langoureux vertige!
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir.
Le violon frémit comme un coeur qu’on afflige,
Un coeur tendre qui hait le néant vaste et noir!
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir;
Le soleil s’est noyé dans son sang qui se fige.
Un coeur tendre qui hait le néant vaste et noir,
Du passé lumineux receuille tout vestige!
Le soleil s’est noyé dans son sang qui se fige …
Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir!
Dihelson Mendonça
Harmonias da Tarde
Voici venir les temps où vibrant sur sa tige
Chaque fleur s’évapore ainsi qu’un encensoir;
Les sons et les parfums tournent dans l’air du soir;
Valse mélancolique et langoureux vertige!
Chaque fleur s’évapore ainsi qu’un encensoir;
Le violon frémit comme un coeur qu’on afflige;
Valse mélancolique et langoureux vertige!
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir.
Le violon frémit comme un coeur qu’on afflige,
Un coeur tendre qui hait le néant vaste et noir!
Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir;
Le soleil s’est noyé dans son sang qui se fige.
Un coeur tendre qui hait le néant vaste et noir,
Du passé lumineux receuille tout vestige!
Le soleil s’est noyé dans son sang qui se fige …
Ton souvenir en moi luit comme un ostensoir!
Dihelson Mendonça
Nenhum comentário:
Postar um comentário